Chaque 28 avril, la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail nous rappelle une réalité trop souvent passée sous silence.
Accidents invisibilisés, conditions de travail dégradées, contrôles insuffisants : derrière chaque mort au travail, il y a des choix politiques.
Aujourd’hui, il est urgent de regarder les effets concrets de décennies de politiques néolibérales et d’en tirer les conséquences : mettre fin à la casse du Code du travail, augmenter les effectifs de contrôle et renforcer les sanctions contre les employeurs en faute.