A l’initiative de Progressive International et pour la Journée internationale des droits des femmes ce 8 mars, je m’engage dans la campagne « un travail mal-aimé ».
70% du travail domestique est effectué par les femmes en France ! Aucune reconnaissance pour ce travail pourtant essentiel.
Des parlementaires du monde entier s’engagent à proposer des solutions concrètes.
Pourquoi les femmes ne pourraient-elles pas, comme au Mexique, parti à la retraite de 4 ans plus tôt ?
Cela participerait à la reconnaissance de leur travail non rémunéré.
Le travail domestique non marchand pèse sur les femmes. Il peut entraver leurs carrières, leur bien-être et leur santé.
Lutter pour sa reconnaissance est une lutte féministe et populaire !